▶︎ Le site LesNouveauxTravailleurs est là pour te donner toutes les informations et les outils dont tu as besoin afin de créer ton activité indépendante, avec tes propres règles du jeu (qui respectent tes besoins personnels).
Découvre des métiers indépendants, des modes de vie, des retours d’expérience, des stratégies de revenus et de nouvelles manières de penser.
Des exercices et autres types d’aides pour t’assurer de choisir une activité indépendante que tu aimeras et que tu ne regretteras pas d'avoir choisie.
Sois guidé·e étape par étape pour te lancer et générer tes propres revenus afin de savoir par où commencer et comment avancer dans la bonne direction.
"Ton live et tes articles m’ont aidée à accepter ma nature de papillon et surtout ça me donne confiance pour l’avenir"
"Je te trouve très inspirante dans l’efficacité avec laquelle tu construis tes formations"
"Tu fais partie des personnes les plus alignées professionnellement que je connaisse”
pour découvrir quel type d’entrepreneur·e tu as envie d’être & quel type de vie tu veux mener
pour développer ton état d’esprit d’entrepreneur·e libre qui décide des règles du jeu, en côtoyant l’énergie de quelqu’un qui le fait déjà (Isis)
pour ton shot hebdomadaire de transformation personnelle
pour être un·e badass qui passe à l’action & ose partir à la conquête de ses rêves les plus fous
parce que t’es pas tout·e seul·e à ne plus supporter ton taff & à aspirer à mieux pour toi-même !
Quand j’ai commencé ma formation de blogging en 2016, d’autres se disaient déjà qu’il serait très difficile de faire sa place au milieu des milliards de pages web. Il y a ceux qui ont renoncé à ce stade et ceux qui ont essayé. Parmi ceux qui ont essayé, certains ont réussi à obtenir un trafic et une taille de communauté intéressants, d’autres non. Certains ont réussi à faire des premiers lancements à 30 000€, d’autres n’ont jamais réussi à se dégager un revenu suffisant.
C’est ça la réalité de l’entrepreneuriat : il y a tellement de facteurs qui entrent en compte qu’il est impossible de prédire qui y arrivera et qui échouera. Mais comme on dit dans le milieu : « 100% de ceux qui ont réussi ont essayé » ;). Moi je crois qu’il y a toujours de la place pour qui a une envie/conviction suffisamment fortes (et a bien travaillé son marketing / positionnement / qui il va aider et comment), car elles l’amèneront à persévérer quand les choses ne se passent pas comme espéré au premier abord.
Le meilleur moyen de ne pas se tromper, selon moi, est de demander des retours d’expérience à des personnes qui font le métier qu’on vise : à quoi ressemble leur quotidien ? Qu’est-ce qui est difficile voire insupportable selon eux ? Que sont-ils obligés de faire qu’ils préfèreraient ne pas faire ? Cela t’aidera à te projeter dans la réalité de cette vie-là. Mais cela ne reste que 50% de la réponse. Car tu ne pourras jamais anticiper à 100% comment tu te sentiras dans cette situation-là, ce qui sera difficile pour TOI une fois dedans.
Si tu te connais bien, tu peux anticiper les situations qui ne te plairaient pas et chercher des moyens de faire différemment avant de te lancer. Mais comme c’est nouveau, tu ne pourras jamais avoir 100% de certitude. L’idée est d’y aller avec une certitude de seulement 70% / 80% puis d’apprendre à observer ce qui te convient plus ou moins une fois sur place et à le modifier au cours de ta route.
La question du revenu est clairement LA question qui fait le plus peur généralement. Nous avons tous (ou presque) été éduqués à devenir des employés : nous nous formons à des métiers « qui recrutent » pour pouvoir ensuite postuler à des entreprises et nous avons l’habitude de recevoir un salaire fixe – très rassurant – chaque fin de mois. Devenir indépendant, c’est renoncer à la certitude de son revenu mensuel. C’est le prix de la liberté. Ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas trouver un moyen de se recréer un revenu stable soi-même. Mais n’empêche qu’on devient 100% responsable de cette réussite (ou non).
Contrairement au salariat, l’entrepreneuriat n’est pas un lieu de certitude. C’est un lieu d’exploration, d’apprentissage, de liberté et de créativité. Tout entrepreneur qui se lance se renseigne sur les modèles économiques possibles pour générer des revenus dans son domaine. Il va ensuite essayer de mettre en place ce modèle et observer comment le marché réagit. Il va ensuite ajuster jusqu’à réussir à obtenir le revenu qu’il souhaite avoir. La bonne nouvelle c’est qu’il existe la possibilité, dans l’entrepreneuriat, de gagner bien plus qu’en tant que salarié (et potentiellement en travaillant moins et seulement comme on a envie).
Nous n’avons pas tous les mêmes besoins à ce niveau-là. Certaines personnes ont cette chance de réussir à se motiver seules, sans aide extérieure. D’autres personnes ont besoin d’une forme de « cadre » : un lieu physique dans lequel se rendre (comme un espace de coworking), un groupe de personnes à rejoindre (des amis entrepreneurs ou des coworkeurs), un travail dans lequel il y a des deadlines pour ressentir ce moment de passer à l’action, des rendez-vous réguliers d’accountability (rendre des comptes) avec un coach, etc..
Si cela peut te rassurer, je crois que c’est juste une question de « câblage différent ». Une telle différence de câblage est d’ailleurs mise en avant dans le Design Humain (Centre énergétique du Cœur défini ou non-défini) et est considérée tout à fait normale dans un cas comme dans l’autre. Le tout est de te connaître et de te créer un contexte dans lequel tu parviendras à avancer, quel que soit ton profil. 🙂
Un autre point à prendre en considération est que la procrastination est parfois le symptôme qu’on est en train de travailler sur un projet qui n’est pas justes pour nous (et c’est donc une opportunité de prendre du recul et réorienter notre travail). Ou encore simplement qu’on est fatigué ou qu’on a besoin d’une pause. Plus tu apprends à t’écouter et savoir interpréter tes besoins, plus tu trouveras un cadre de travail qui t’aide à avancer.
La solitude est un des aspects de l’indépendance que certaines personnes ont le plus de mal à supporter. Certains regrettent tellement de ne plus avoir de collègues qu’ils retournent dans le salariat.
Mais pour ceux qui tiennent à leur liberté acquise en tant qu’entrepreneurs, des alternatives existent : travailler dans un espace de coworking pour retrouver cette sensation d’avoir des « collègues » ; rejoindre des communautés en ligne, des formations, des coachings, des masterminds ou des réseaux d’entrepreneurs dans sa ville pour être en contact régulier avec d’autres personnes ; trouver un « ami d’entrepreneuriat » parmi ces personnes avec qui se soutenir au quotidien ; voyager dans des communautés de Digital Nomads (pour ceux qui choisissent ce mode de vie) ; aller travailler dans des espaces où il y a d’autres personnes (comme une terrasse de café) ; avoir des loisirs qui permettent de voir du monde, etc.
Nous n’avons pas tous les mêmes besoins à ce niveau-là. Certaines personnes se portent très bien lorsqu’elles passent beaucoup de temps seules. D’autres moins. À toi de construire un cadre de travail qui correspond à ce dont tu as besoin.
Entrepreneur·e & Indépendant·e sont synonymes = le principe de ne plus appartenir au régime fiscal des salariés mais au régime fiscal des « travailleurs indépendants » + le principe d’avoir créé une « entreprise » au sens juridique (il existe plusieurs catégories : EI, EIRL, EURL, SASU, SAS, SARL..).
Micro-entrepreneur·e & Auto-entrepreneur·e sont synonymes (auto-entrepreneur est l’ancien nom & micro-entrepreneur le nouveau) = un entrepreneur qui a créé une entreprise de type « EI » (Entreprise Individuelle) au régime fiscal simplifié appelé « micro-entreprise » (une création & gestion très simples, qu’on peut conserver tant qu’on ne dépasse pas un certain seul de chiffre d’affaires ; au-delà on passe au régime normal de l’EI).
Freelance = un entrepreneur / indépendant dont les client sont des entreprises, pour lesquelles il réalise une prestation de service. C’est comme un salarié externalisé (il est payé pour une mission ponctuelle) à la différence qu’il a plusieurs « employeurs » (il est interdit d’avoir un seul client car cela est considéré comme du salariat déguisé). Il existe bien d’autres formes d’entrepreneuriat que le freelancing. Par exemple, moi je ne suis pas freelance mais « infopreneure » : je ne vends pas des services à des entreprises mais des produits (d’information) à des particuliers (= mes formations en ligne principalement).
Solopreneur·e = un entrepreneur / indépendant qui travaille seul, sans équipe. Le mot a été créé pour différencier ce type d’entrepreneuriat des entrepreneurs qui travaillent avec des freelances pour pouvoir gérer une plus grosse activité tout en restant en Entreprise Individuelle, ou des entrepreneurs gérants de société qui embauchent des salariés. Un freelance est donc un Solopreneur s’il travaille seul mais ne l’est plus s’il crée une agence par exemple.