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Quand j’ai commencé à voyager avec WifiTribe en juin 2018, une de mes valeurs a été mise à mal : l’écologie. J’ai toujours été sensible aux dégâts causés à l’environnement. De ce fait, j’ai appris à adopter des gestes plus respectueux de l’environnement. Et j’ai essayé d’en ajouter de nouveaux petit à petit.
Mais quand je suis partie en Amérique Latine pour devenir digital nomad internationale, j’ai perdu plusieurs de mes habitudes écologiques. En changeant de lieu de vie, j’ai perdu certains repères (où acheter des produits locaux, bios…) et j’ai largement augmenté mon empreinte carbone, en voyageant beaucoup en avion.
Le plaisir d’être devenu digital nomad est donc assombri par ma culpabilité d’être moins éco-responsable qu’avant. Or, si je veux vivre ce mode de vie sur du long terme, il faut que j’apprenne à y intégrer ma valeur “Ecologie”, je ne peux pas l’évincer.
Pour essayer d’améliorer les choses, j’ai décidé de co-écrire cet article, avec mon amie Audrey, créatrice du blog l’Atelier Bucolique, un blog spécialisé dans l’éco-tourisme et le slowtourisme.
J’ai rassemblé les problématiques principales que j’ai rencontrées dans ce mode de vie, avec la contribution d’autres membres de la communauté WifiTribe. Et Audrey s’est occupée de trouver des solutions, pour nous aider à être des Digital Nomads plus responsables.
Pour structurer l’article, nous avons repris une infographie qu’Audrey a réalisée, avec les principaux gestes éco-responsables :
Geste écologique #1 : Trousse de toilette écologique
Essayer d’avoir une trousse de toilette la plus écologique possible était une des choses auxquelles j’ai fait attention quand j’ai préparé mon sac avant de partir en voyage pour plusieurs mois.
Coupe menstruelle
Pour limiter les serviettes et tampons pendant les règles, je me suis mise à la coupe menstruelle un mois avant de partir. Jusqu’à présent, j’ai trouvé ça très pratique. Malgré tout, j’ai dû racheter des protège-slips car je n’aime pas m’enquiquiner avec la coupe les premiers jours de règle. Mais j’ai vu que Miu allait sortir des protège-slips réutilisables, donc ce sera probablement ma prochaine option.
Huile de coco et autres huiles végétales
En remplacement d’autres crèmes hydratantes, j’ai emporté un bocal d’huile de coco, qui cause moins de dommages sur l’environnement. Audrey m’indique qu’il existe d’autres types d’huiles : argan, amande, avocat.
Rond de démaquillage
En remplacement des cotons pour se démaquiller, j’ai acheté des ronds de tissu (coton) qu’on lave et réutilise.
Audrey a écrit un super article sur la trousse de toilette écologique. Je te recommande vivement d’aller le lire pour apprendre d’autres astuces pour se raser écologiquement, éradiquer les cotons-tige (un fléau pour les océans !), utiliser du maquillage responsable, et bien plus encore !
Continuer à consommer des produits de toilette responsables une fois en voyage
Difficile de garder ses bonnes habitudes en voyage
Quand j’habitais à Paris, j’essayais d’acheter du savon non polluant et non agressif pour la peau. Pour le produit vaisselle, je prenais celui qui indiquait “écologique”. Je limitais mes shampooings (un tous les deux ou trois jours) pour déverser moins de shampooing dans les tuyaux, et pour moins agresser mon cuir chevelu).
Mais j’ai perdu ces bonnes habitudes en commençant à voyager et changer d’endroit régulièrement. Car, à chaque fois que je termine un produit, je note d’en acheter un nouveau quand je vais faire les courses. Mais si le magasin où je vais n’a pas d’options plus écologiques, j’en achète un qui ne l’est pas, parce que je ne veux pas faire tous les magasins avant de trouver ce que je cherche.
Solution(s)
Proposition d’Audrey : Concernant les produits de toilettes écologiques, si tu n’arrives pas repérer tout de suite la marque écologique des cosmétiques, tu peux au moins essayer de choisir un shampoing qui limite l’utilisation de produits toxiques. Tels que les parabens et tous les produits chimiques sur la liste des ingrédients qui finissent en -parabens. Dans les shampoings tu peux aussi éviter les ingrédients très nuisibles pour la planète et pour toi, comme le silicone et le colorant.
Idéalement, pour les labels écologiques, ce serait bien de demander à un local quelques conseils. Quelque part, cela montre aussi un certain intérêt pour la population locale : c’est signe que tu attaches de l’importance à consommer responsable dans le pays où tu voyages. Et puis c’est un bon prétexte pour rencontrer les habitants d’un quartier que tu visites 😉
Geste écologique #2 : Respecter les cultures et l’environnement
Comment trouver des excursions responsables ?
Des excursions responsables : un travail supplémentaire pendant son voyage
Dans la communauté WifiTribe, on fait pas mal de weekends et d’excursions. Mais on s’y prend souvent au dernier moment. Parce que, durant la semaine, notre priorité est notre travail. Donc l’organisation des weekends se fait à l’arrache, et passe au second plan.
Résultat : on prend les premières choses qu’on trouve, sans trop se soucier de l’aspect responsable des agences (respect de l’environnement, respect des animaux, salaire correct des employés…).
Solution
Audrey : Oui je comprends qu’après une semaine de travail bien remplie, ce n’est pas facile d’organiser un weekend et surtout pour tout un groupe !
L’idée d’avoir un journal de bord qui soit partagé au sein de la communauté serait très utile pour faciliter la planification de vos week-end d’une part. Et d’autre part, vous pourriez recenser les bons plans “responsables” au fur et à mesure.
J’ai pensé aussi à cette piste : il y a l’agence de voyage Terres des Andes qui développe des séjours équitables et responsables dans toute l’Amérique du Sud. Ils ont tout un réseau de guides locaux et de bonnes adresses.
Par exemple, il faudrait les contacter pour exposer votre projet de voyage à travers l’amérique latine. Ainsi vous pourriez collaborer pour un ensemble d’excursions weekend responsables. Au titre d’un weekend par mois par exemple, dans chaque pays, et ainsi vous mettre d’accord sur un tarif – étant donné que vous êtes déjà sur place. C’est une piste à creuser et vous auriez un opérateur local qui vous déchargerait de toute l’organisation, en plus de voyager responsable.
Si vous ne passez par par une structure organisatrice, vous pouvez découvrir des producteurs locaux ou des artisans, et avoir une opportunité de trouver des produits bios et/ou locaux. Aussi c’est l’occasion de découvrir des savoir-faire. Dormir chez l’habitant ou dans une petite auberge rurale.
Selon les activités, il est nécessaire de faire attention au respect des animaux, et d’être vigilants sur le respect des êtres vivants : ne pas cautionner les maltraitances.
Comment éviter de gaspiller la nourriture et autres produits ?
Le gaspillage est courant quand on change souvent de lieu de vie
Avec WifiTribe, nous changeons de lieu de vie tous les mois. A chaque nouveau lieu de vie, on doit refaire le plein de nourriture. Et quand on part, si on a mal géré les stocks, on se retrouve à devoir laisser derrière nous toute la nourriture non consommée.
Parfois, celle-ci a été récupérée par les propriétaires des appartements qu’on avait loués. Personnellement, j’emporte ce qui est sec : thé, riz. Mais je n’emporte pas tout ce qui est bouteille (huile d’olive, vinaigre).
D’autres personnes ne souhaitent rien emporter du tout. «Je ne souhaite pas transporter tous les produits de toilette (shampooing, après-shampooing…). Donc si je n’utilise pas tout pendant le voyage, j’aurai gaspillé une demi bouteille. Pareil avec les épices, le riz, la suce soja, l’huile d’olive, etc. » me confie une amie de WifiTribe.
Solution
Proposition d’Audrey : Donner aux voisins, à une association de quartier, mais surtout ne pas jeter ! 🙂
Il y des organisations propres à chaque pays je n’ai pas la connaissance d’un site “global”. Cependant, je pense qu’il faut simplement passer au service social de la mairie pour qu’on vous donne l’adresse d’une association. Sinon je pense que les commerçants connaissent ce genre d’informations.
Geste écologique #3 : Manger local et bio
Difficile de trouver où manger local et bio
A Paris, j’avais découvert des initiatives comme Biocoop, ou PotagerCity pour consommer local. En changeant de lieu de vie, comme pour les produits de toilette, j’ai perdu ces repères-là. A chaque nouveau lieu où j’emménage pour un mois, il faudrait que je cherche où se trouvent les produits bios et locaux. Mais j’ai d’autres priorités alors je ne le fais pas.
J’essaye de regarder les pancartes de provenance des fruits et légumes et de choisir ceux qui viennent du pays le plus proche. Mais ça ne me paraît pas assez.
Solution
Audrey : Si les produits ne sont pas labellisés, ne pas hésiter à aller sur les marchés. C’est toujours la meilleure adresse pour remplir son panier. Et tu peux poser tes questions parfois directement aux producteurs.
Penser aussi à consommer des produits alimentaires sans huile de palme, qui cause beaucoup de déforestation.
Geste écologique #4 : Ne pas utiliser les emballages à usage unique
Comment éviter la consommation de bouteilles en plastiques en voyage ?
La consommation de bouteilles en plastique, premier fléau en voyage en Amérique Latine
En Amérique Latine, l’eau du robinet est rarement potable. Parfois, les appartements sont équipés de filtres, ou bien d’un support pour tirer l’eau depuis de grosses bonbonnes de dix litres. Ca fait l’affaire.
Quand on travaille dans l’appartement, pour boire la journée, il suffit de remplir son verre. Quand on part marcher, on peut remplir sa gourde.
Mais la galère arrive dès qu’on part en weekend. Une gourde d’un litre ne suffit pas à s’abreuver tout le weekend. C’est là qu’on se retrouve souvent obligés d’acheter des bouteilles en plastique. Comme on est en déplacement, on ne peut pas acheter des formats trop lourds et encombrants, donc on achète plusieurs petites bouteilles. Résultat : on accumule des dizaines de bouteilles en plastique.
« Je me sens mal par rapport à ça, mais je ne veux pas prendre le risque d’utiliser une paille filtrante. » me confie une amie de WifiTribe.
Solution
Audrey : C’est sûr que c’est délicat de partir en weekend sans eau potable et sans vouloir utiliser la paille filtrante. Cependant il y a des pastilles de purification d’eau à vendre dans les pharmacies (ou en ligne). Ou il y a la solution, une fois que vous êtes arrivés dans votre hébergement du weekend, vous achetez une bonbonne d’eau “collective” que vous laissez sur le lieu de la nuités. Ainsi vous pouvez remplir vos gourdes. Ou vous pouvez faire le choix de bouillir l’eau avant de remplir votre bouteille.
Au final la paille filtrante est certainement la solution la plus idéale pour ce type de situation, peut-être est-ce une crainte à dépasser ?
Comment recycler
Le recyclage est limité dans certains pays
Depuis que j’ai commencé à voyager avec WifiTribe, sur quatre appartements où j’ai vécus, un seul était équipé pour le tri sélectif. Pour tous les autres, nous avons dû tout jeter dans la même poubelle. Soit parce que la ville elle-même n’avait pas d’option de tri sélectif, soit parce que les appartements n’étaient pas équipés.
Solution
Audrey : Comme je l’avais mentionné lors de notre première discussion, être un voyageur responsable implique parfois tout un ensemble : c’est-à-dire que tu peux faire le maximum de ton côté pour être dans une démarche respectueuse, mais il y a un moment où se présente une limite.
Dans cette problématique de votre communauté de Wifitribe vous êtes quelque part dépendant des organisateurs.
Vos organisateurs choisissent vos hébergements : ils ne prennent peut-être pas en compte ce paramètre, de sélectionner par exemple des villes engagées dans le recyclage ou des hébergements écologiques.
Si vous êtes nombreux dans votre groupe de Digital Nomad à être touchés par cette démarche, vous pouvez éventuellement communiquer vos aspirations écoresponsables à vos organisateurs.
Cependant, ils n’agiront pas immédiatement, mais c’est une problématique qui peut faire son chemin. Ainsi ils peuvent dans le futur être plus attentifs à cette démarche de vous trouver des hébergements ou des lieux de vie plus adaptés à vos valeurs de voyageurs responsables.
Voyager responsable c’est un système qui ne fonctionne pas à sens unique. Tout ne peut pas dépendre des engagements du voyageur, même s’il est un acteur central dans cette démarche, le contexte joue aussi son rôle.
Limiter les emballages : oui c’est la meilleure solution et vérifier si sur place il n’y pas le système de consigne pour le verre.
Difficile d’emporter ses pots en verre
Quand on voyage, on a tendance à vouloir voyager le plus léger possible. 23kg maximum pour ne pas dépasser les limites autorisées pour un bagage en soute dans les avions. Ou encore moins pour des personnes plus minimalistes comme moi (je suis partie avec 16kg, dont mon ordi et des chaussures de montagne, les deux éléments les plus lourds de mon sac).
“A la maison, je conserve les vieux pots de confiture, les boîtes en plastique et les vêtements usés pour les réutiliser dans le futur” me confie une amie de WifiTribe.
Compliqué à faire en voyage.
Solution
Tu peux prévoir un petit ensemble (deux ou trois minimum) de boites inox, empilables comme des poupées russes : ça sert toujours, ce n’est pas fragile et ce n’est pas lourd.
Limiter les sacs en plastique
Les pays en développement sont habitués aux sacs en plastique
En France, j’avais pris l’habitude d’emporter un ou deux sacs en tissu avec moi pour faire mes courses. En voyage, j’utilise mon sac à dos. J’ai récupéré un sac en tissu en cours de route, que j’utilise aussi maintenant. Mais quand j’arrive à la caisse des magasins, j’ai souvent besoin de sacs en plus. Donc je me retrouve avec des sacs plastiques.
Dans tous les pays où je suis allée en Amérique Latine jusqu’à présent, tout le monde utilise énormément de sacs plastiques dans les magasins. Et s’il y a un élément lourd, ils mettent carrément deux sacs, pour éviter que tout se retrouve sur le sol s’il se casse.
Les sacs pour les fruits et légumes sont également en plastique. Et ça c’est le plus difficile à éviter.
Solution
Audrey : C’est une question qui nécessite un engagement ! 🙂 À toi de dire “non merci, pas de sac plastique” et tu peux aussi ajouter : “c’est un geste pour l’environnement 😀 Et là, c’est non seulement tu marques ton engagement, mais en plus tu sensibilises modéremment à ta cause et tes valeurs 🙂 C’est le top du voyageur responsable !
Le sac plastique est un véritable ennemi ! Pas d’autres choix que de t’équiper en sacs en tissus réutilisables pour les courses : je suis sûre qu’il y en a plein sur place avec de très jolis textiles faits localement 😉
Il existe aussi de petits sacs en tissus qui se ferment avec une ficelle : tu peux conserver tes aliments (riz, pâtes, lentilles etc), les utiliser pour tes pique-nique (pour y mettre tes sandwichs par exemple.
Limiter les pailles en plastique
Les pailles en plastique sont un autre fléau pour la nature car d’énormes quantités sont utilisées et jetées. La ville de Paris a d’ailleurs décidé de ne plus utiliser aucune paille en plastique dans les établissements municipaux à partir de septembre 2018, et invite les cafés et restaurants à faire de même.
Un élément à penser à emporter dans son sac avant de partir donc : une paille en inox ou en bambou ! Ca ne prend pas de place et ce n’est pas lourd. 🙂
Geste écologique #5 : Circuler sur de petites distances
Limiter les déplacements en avion
Prendre l’avion pour partir en weekend
Je pense que si j’avais voyagé seule, j’aurais beaucoup moins pris l’avion. J’aurais opté pour du “slow travel”, en allant d’un endroit à l’autre en bus, et en faisant des weekends dans les environs.
Mais avec Wifitribe, les personnes qui sont là ne restent parfois qu’un mois. Elles ont donc cette soif d’aller voir tous les meilleurs endroits du pays dans lequel on s’est posé. Et comme moi j’ai envie d’être avec eux, je les suis. Pour plusieurs weekends, j’ai dû prendre l’avion (Buenos Aires → Mendoza ; Rio → Sao Paulo → Chutes d’Iguazu → Buenos Aires ; La Paz → Jungle…).
Solution
Il n’est pas nécessaire de prendre un avion pour partir 48h au bout du pays à mon sens, à chaque weekend.
Dans la logique où vous ne connaissez pas le pays, parfois prendre un bus ou un train pour parcourir une petite distance et découvrir un territoire rural, une vallée peut suffire. Ou bien louer des vélos et faire une excursion courte distance avec le groupe.
Cela peut-être une alternative écologique et aussi reposante : avoir du temps pour soi. C’est-à-dire de prévoir un weekend en mode slow tourism. Ce qui peut être très tendance.
Limiter les transports à moteur
Quand j’étais à Paris, je me déplaçais majoritairement à pied et à vélo. Quelques fois en métro. Mais jamais en véhicule motorisé.
En arrivant en Bolivie, notre maison était à 30 minutes de La Paz. Il y avait des minibus (transport collectif) pas cher qui descendaient jusqu’à la ville. Mais le groupe avait pris l’habitude de descendre en taxi, parce que c’était plus confortable. Et comme c’était mes premiers pas à l’étranger avec ce nouveau mode de vie, j’ai suivi le troupeau.
Au Brésil et en Argentine, j’ai acheté des cartes de métro et bus. Mais pour des raisons de sécurité (surtout au Brésil), j’ai davantage utilisé Uber ou les taxis pour me rendre aux différents endroits. Egalement parce que c’était l’option favorite du groupe (probablement parce que c’est plus confortable : on a juste à indiquer où on est, où on va, et hop, c’est parti ; alors qu’en bus/métro, il faut étudier le trajet, on peut se tromper…).
Donc, globalement, j’ai le sentiment d’utiliser trop de véhicules motorisés depuis que j’ai commencé à travailler.
A noter qu’à Playa Del Carmen (Mexique), c’est facile de se déplacer à pied ou à vélo. Je me suis donc acheté un p’tit bicycle (:p) et j’essaye de l’utiliser au maximum. Mais je ne peux pas le laisser dehors la nuit, donc quand on part en weekend, ça reste l’option taxi pour aller jusqu’au point de départ.
Geste écologique #6 : Limiter les machines pour ses vêtements pour ne pas gaspiller l’eau et l’électricité
Quand j’ai préparé mon sac pour partir en voyage, j’ai décidé d’emporter le moins de vêtements possible (#minimaliste). Résultat : je dois très souvent les laver car sinon je suis à cours. En Argentine, j’ai souvent lavé à la main parce que la laverie coûtait trop cher pour moi. Mais c’était une galère. Honnêtement, laver à la main, c’est chiant.
Comme les autres appartements étaient équipés de machines à laver, je les ai utilisées. Avec un sentiment de culpabilité car parfois j’ai fait tourner des machines pour très peu de vêtements. Dès que j’en faisais une, je demandais à mes colocs s’ils avaient des choses à laver. Je leur disais aussi de me prévenir quand ils faisaient une machine pour que je puisse intégrer quelques affaires à moi. Mais, d’après eux, “la machine était pleine” à chaque fois.
14 défis pour devenir un Digital Nomad plus responsable
En discutant avec Audrey pendant notre collaboration sur cet article, je me suis dis que je me sentais un peu dépassée par tout ce à quoi il faut penser pour être un Digital Nomad éco-responsable. Pour rendre ça plus facile, nous avons donc listé 14 petits défis à réaliser quand tu le peux.
Chaque petit défi réalisé est une victoire pour être un Digital Nomad plus responsable ! Il n’y a pas de petite victoire, tous les petits gestes comptent ! Et plus tu les feras, plus ça deviendra une habitude et tu pourras intégrer l’écologie à ce mode de vie.
Voici donc 14 défis pour t’aider à devenir un Digital Nomad responsable petit à petit :
Dans cet article, nous avons traité les problématiques qui sont ressorties le plus souvent. Il y a encore plein d’autres manières d’être responsable. Comme adopter un moteur de recherche comme Ecosia, qui favorise la plantation d’arbres, ou Lilo, qui fait des dons à des associations pour chaque recherche.
Si tu veux aller plus loin, tu peux télécharger le “Guide de l’Ecovoyageur” qu’Audrey a créé, et qui te donnera d’autres idées et ressources pour être un Digital Nomad Responsable.
Allez, pour commencer, réalise un des défis listés sur l’infographie. Partage-nous ton expérience en commentaires une fois que tu l’as fait !
Tu as d’autres problématiques pour être éco-responsable ? Partage-les nous aussi en commentaires !
Photo de couverture : by Evgeni Evgeniev on Unsplash
2 réflexions au sujet de « Comment être un Digital Nomad éco-responsable ? »
Article très intéressant qui résume bien les bonnes pratiques à faire pour être nomade et écoresponsable merci !
Avec plaisir 🙂 Merci pour ton commentaire 🙂