A 23 ans, Théo Blochet est devenu Product Manager en Remote pour une entreprise New-Yorkaise depuis Dublin. Six mois plus tard, il a décidé de mettre fin à cette expérience. Dans cette interview, découvre pourquoi Théo a décidé de renoncer à ce mode de travail « Remote », prisé par de nombreuses autres personnes.
Julie est slasheuse. Elle cumule deux activités : Standardiste à temps partiel dans un hôpital / Vendeuse à Domicile de Bijoux. Dans cette interview vidéo, Julie nous raconte son quotidien dans ce mode de travail, ce que ça lui a apporté, ainsi que les difficultés rencontrées.
Caroline de Surany est l’auteure du livre « Mon programme ikigaï ». Dans cette interview, elle nous raconte pourquoi elle a écrit ce livre et nous dévoile quelques exercices qu’il contient pour être plus heureux dans sa vie personnelle et professionnelle.
Sonia est digital nomad sur un voilier avec son conjoint, Lucas. Ils gagnent leur vie comme freelance. Elle, est Webdesigner et lui, Développeur Web. Depuis la Martinique, Sonia nous livre dans cette interview les particularités du mode de vie et de travail qu’ils ont choisis.
La « PNL » (Programmation Neuro-Linguistique) peut aider à devenir pus épanoui au travail. Découvre comment dans cette interview de Bénédicte Bouyer, coach en PNL.
Pour cette interview, je n’ai pas discuté avec une personne mais deux ! Anthony et Tanguy, deux des dirigeants, se sont tous les deux prêtés à l’exercice pour livrer leur “point de vue du patron” sur la question du remote. Mais oui, c’est vrai ça, qu’en pensent les patrons ? Découvrons leur témoignage 🙂
J’ai demandé à quatre blogueurs de la communauté s’ils voulaient bien témoigner à leur tour et partager pourquoi ils ont choisi de devenir blogueurs professionnels. Cet article introduit leur témoignage, que vous pourrez lire en détail sur leur blog en cliquant sur les liens de cette page.
Flora Clodic-Tanguy est “slasheuse”. Elle cumule aujourd’hui deux grands types d’activités : des activités freelance liées à la communication / [slash] le projet “Au Bonheur des Zèbres”. Mais sa posture de slasheuse n’a pas toujours été assumée. Après plusieurs expériences professionnelles, Flora connaît son moment de bascule vers une vie de slasheuse assumée en 2016. Depuis, elle se sent bien dans cette vie de slasheuse, qu’elle voit comme un mode de vie et une manière de s’épanouir.
Sylvain Hellegouarch a une vision originale du remote. Il voit le remote comme un environnement de travail comme un autre auquel il doit s’adapter. Alors que les autres personnes que j’ai interviewées voient plutôt le remote comme un mode de travail qu’ils auraient du mal à quitter tant il leur apporte une flexibilité plus importante qu’un job “classique”.
Florian Strzelecki (prononcer “cheleski”) travaille chez Oscaro depuis 2014 comme “ingénieur backend” (pour les novices, comprendre : un métier proche du développement web). A 31 ans, il se réjouit de son mode de vie de salarié remote, qui lui permet de vivre dans la même ville que sa compagne et de travailler chez lui.
Xenia m’a contactée après avoir lu mon témoignage sur mes 5 mois de télétravail à 100% sur Medium. Non seulement Xenia est digital nomad, mais en plus elle promeut ce format-là (comme moi avec LesNouveauxTravailleurs :D) dans son pays : la Suisse. Traductrice de métier, Xenia a progressivement quitté le salariat pour devenir indépendante, et en profiter pour travailler au soleil (Espagne “péninsulaire”, Canaries, Grèce) pendant plusieurs mois chaque année.
Portrait n°2 sur 52 : Lucile Foroni travaille en « remote ». Growth Manager chez Doist, elle nous raconte comment se apsse ce mode de travail pour elle.