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Talents : comment les utiliser dans son activité professionnelle ?

A l’heure où j’écris cet article, je me trouve au Portugal. Je suis partie dix jours en roadtrip en camping-car avec quatorze autres Digital Nomads.

Hier soir, après dîner, je suis restée discuter avec quelques personnes, assis sur nos chaises de camping, en cercle.

Quelqu’un suggère un jeu : raconter quelque chose qu’on n’aimerait pas que les autres sachent sur nous. Ou bien une histoire embarrassante.

Après avoir écouté deux ou trois histoires embarrassantes, je prends la parole et me lance pour raconter une histoire (non, je ne dévoilerai pas cette histoire ici :p).

A la fin de mon histoire, mon « audience » me dit que c’était « une histoire géniale », que je l’ai « super bien racontée ». Et elle me demande si j’en ai une autre à raconter.

Je suis un peu surprise par l’effet qu’a eu mon histoire sur les gens (ils ont adoré la forme autant que le fond). Un peu gênée même par ces compliments.

Et à la fois, ça me renvoie à ce que me disent certains amis parfois : « tu sais mettre du suspense dans les histoires », « j’adore t’écouter ».

Plus tard dans la soirée, ma colocataire de van me rapporte ce que lui a dit un autre participant : « j’aurais pu l’écouter pendant des heures ».

Là je me dis « Wouaw, qu’est-ce qu’il se passe ? Est-ce que j’ai vraiment un talent pour ça ? ». D’après les autres, oui.

Mais là, un autre sentiment m’envahit : la déception. C’est dommage, on me dit que je raconte bien les histoires quand je les raconte oralement, dans un contexte informel. Mais je n’ai pas l’impression d’avoir réussi à utiliser ça dans le contexte professionnel.

Pourtant, j’en aurais l’occasion : j’écris des articles, des emails, je fais des vidéos et des podcasts. Autant d’occasions de raconter des histoires.

Mais j’ai l’impression que ça ne me vient pas aussi facilement.

C’est pour ça que j’ai eu l’idée d’écrire cet article.

Transposer ses talents dans sa vie professionnelle : pas toujours évident

Dans ma méthode ikigaï, je parle de « trouver ses talents ».

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Parce que je crois qu’utiliser ses talents permet de travailler avec facilité et fluidité.

Et rend donc plus épanoui.

Je crois aussi qu’utiliser nos talents dans notre travail nous permet de nous différencier des autres personnes qui font la même chose. Car nous le faisons plus naturellement. C’est vraiment « nous ».

Pourtant, hier soir, j’ai réalisé que transposer ses talents dans sa vie professionnelle n’est pas toujours facile. Il ne suffit pas de trouver ses talents pour être capable de les utiliser dans son activité professionnelle.

Comment transposer ses talents dans sa vie professionnelle ?

Je trouve ça dommage. En n’utilisant pas nos talents, on passe à côté de l’opportunité de « briller », d’apporter plus de valeur aux autres.

Je me suis donc demandé comment nous pourrions débloquer ça. Passer de « j’ai des talents que je n’arrive pas à utiliser dans ma vie professionnelle » à « j’ai des talents ET j’arrive à les utiliser dans ma vie professionnelle. »

1) Construire son activité autour de son talent préféré

Quand je pense à ma propre activité, je crois que je l’ai construite autour de mon Talent n°1 (écrire, transmettre des idées et des émotions par l’écriture).

Pour moi, l’écriture est mon talent « préféré ». C’est celui que je voulais utiliser au quotidien.
Mes autres talents, eux, ont été relégués au second plan.
Je les ai identifiés, mais je n’ai pas réussi à les intégrer aussi facilement.
Pour le faire, il faut donc que je considère l’étape 2 ci-dessous.

Si tu es en train de réfléchir à ta future activité professionnelle, je t’invite à :
* Lister tes talents ;
* Définir LE talent que tu as le plus envie d’utiliser, quotidiennement ;
* Identifier les activités professionnelles qui peuvent te permettre d’utiliser ce talent-là ;
* Parmi ces activités, analyser celles qui peuvent intégrer d’autres talents ;
* Classer les activités : la meilleure « candidate » est celle qui peut rassembler un maximum de talents.

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2) Ajouter un talent après coup

Comment faire pour intégrer des talents que l’on n’avait pas intégrés ?

Cette étape s’adresse à toi plutôt si tu as déjà mis en place une activité professionnelle et te rends compte que tu n’utilises pas tous tes talents.

A mon sens, pour intégrer un talent après coup, il faut réfléchir en deux étapes :

  1. Brainstorming : quelles sont toutes les façons avec lesquelles je pourrais intégrer ce talent ?
  2. Mise en place : concrètement, quel processus puis-je mettre en place pour m’assurer d’intégrer ces idées dans mon quotidien professionnel ?

Etape 1 : quelles sont toutes les façons avec lesquelles je pourrais intégrer ce talent ?

Prenons l’exemple de mon talent « raconter des histoires ».

Voici ce qui me vient en tête quand j’imagine comment l’intégrer (étape 1) :

  • Ecrire mes articles en partant d’anecdotes/histoires, plutôt que de choisir un sujet PUIS d’essayer de trouver une anecdote pour l’illustrer ;
  • Idem pour les emails ;
  • Dans les vidéos, ne pas trop préparer mon script pour laisser ma spontanéité raconter l’histoire comme je l’aurais fait dans un contexte personnel ;
  • Faire davantage de conférences en ligne ou en présentiel, pour pouvoir raconter des histoires oralement ;
  • Quand j’ai une histoire intéressante à raconter, une anecdote qui m’est arrivée, trouver un lien avec le sujet du blog, pour pouvoir créer un contenu autour de ça.

Pour la première étape, il est important de penser déjà « concrètement », en se basant sur ce qu’on fait déjà, sur du réel. Par exemple, dans mon exemple ci-dessous, je fais référence aux articles, emails et vidéos, qui sont des choses que je fais déjà. J’ai aussi une idée de quelque chose de nouveau (davantage de conférences)

Etape 2 : concrètement, quel processus puis-je mettre en place pour m’assurer d’intégrer ces idées dans mon quotidien professionnel ?

Pour rendre cela plus concret et vraiment le faire, il me faut un processus :

  • Quand j’ai une anecdote/histoire intéressante à raconter, noter dans une note Evernote :
    • Les points clés de l’histoire ;
    • L’idée-clé liée à l’épanouissement professionnel, reliée à cette histoire.
  • Quand je me mets sur une tâche « écrire un article », reprendre ces notes-là et écrire l’article à partir de ça (c’est d’ailleurs ce que j’ai fait pour cet article) ;
  • Quand je prépare le script d’une vidéo, noter :
    • Uniquement une phrase qui résume l’histoire que je veux raconter, pour pouvoir la raconter naturellement ;
    • Une phrase qui explique le lien entre cette histoire et l’idée-clé de la vidéo ;
    • Les points-clés du reste du contenu de la vidéo.
  • Pour ma conférence du 13 novembre, préparer une histoire à raconter ;
  • Créer une vidéo pour raconter la Camper Retreat que je suis en train de vivre en ce moment.
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Pour cette deuxième étape, il s’agit d’inventer un nouveau processus de travail, ou bien de modifier celle que l’ona déjà, pour intégrer les nouveaux éléments. Cette étape me semble primordiale quand on veut réellement mettre en place quelque chose.

Si je me dis juste « oh oui, ce serait super d’écrire des articles qui commencent par des anecdotes », je risque de ne pas le faire. Si je ne l’ai pas fait naturellement jusque-là, pourquoi le ferai-je davantage maintenant ? Si ce n’est pas naturel, il faut une méthode à suivre. Et pouvoir accéder facilement à cette méthode, ou l’avoir sous les yeux, pour se rappeler de la mettre en place.

Et toi, y a-t-il des talents que tu n’arrives pas à utiliser dans ta vie professionnelle ? Lesquels ? Sais-tu à présent mieux comment les intégrer à ta vie professionnelle ?

Passe à l’action

Tu rêves de trouver une voie professionnelle épanouissante (et rémunératrice), dans laquelle utiliser tes talents, mais aussi te sentir utile, kiffer ton travail, et respecter ton écologie personnelle ?

Si oui, je t’invite à découvrir ma formation Trouver Sa Voie 👇

Photo by Victoria Bilsborough on Unsplash

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3 réflexions au sujet de « Talents : comment les utiliser dans son activité professionnelle ? »

  1. Bonjour, j’ai déjà fait pas mal de recherches personnelles et cherche à présent des solutions.
    Mon objectif prioritaire était d’intégrer l’armée, ma santé m’en empêche objectivement et civil / fonctionnaire au ministère dédié ne m’intéresse pas vraiment.
    C’était surement irréaliste, ma santé est un frein au social (pour faire court, j’ai des sortes de tics dont on ne sait pas comment guérir)
    Plan A : Mort

    Talents : Je pense être doué en humour si je le décide.
    Je cerne bien les gens et le monde en général.
    J’écris correctement en français et anglais
    Pas de compétences exceptionnelles donc mais je le fais plutôt bien

    Plan B potentiel plan A : Servir une cause en disant la vérité avec humour (ou pas, selon), de manière collective si possible, individuelle au besoin (répéter individuellement m’énerve)
    Problème : Ma santé limite énormément le champ des possibles
    Ma diction est mauvaise
    On n’existe pas sans youtube de nos jours et une video sans diction c’est inintéressant

    Plan alternatif : Le blog / site personnel
    Problème, personne ne va lire ces trucs, les gens sont des esclaves de la forme moi le premier. Pas de visuel, pas de vues et je dessine mal (vraiment, j’ai déjà essayé d’apprendre)

    Ecrire des livres m’ennuie par la longueur du format

    Je peux écrire éventuellement pour la cause que je soutiens des articles, mais suis généraliste et pas vraiment spécialiste. Il y a bien des pistes mais je n’ai pas de légitimité académique sur chacune. De plus les articles m’ennuient

    Dernier plan / Créer des objets artisanaux:
    Problème, l’industrie existe et personne ou presque n’achète ce genre d’objets actuellement hormis ce qui est mignon et féminin et je suis un homme.
    Solution alternative : Ecrire des livres, (m’ennuie de faire les recherches et démonstrations) Seul le résultat et la conclusion m’importe, écrire seul m’ennuie. je n’ai pas de légitimité non plus

    En résumé, mon talent principal et but est de synthétiser la vérité de manière cash avec humour pour la distribuer et contribuer au bien commun.
    Problème 1 : Difficile à convertir économiquement
    Problème 2 : Ma santé limite énormément les potentialités
    Problème 3 : Public un peu niche en 2020 (hs mais ma cause est haïe par une bonne partie du monde pour diverses raisons, du moins elle est clivante) mon anglais est correct ceci dit

    Solution éventuelle provisoire : Ressortir tout cela de manière ordonnée sur un wordpress. Eventuellement y adjoindre des petits comics mal dessinés à la tablette graphique.

    Problème, ça intéresse peu de monde surtout via ce format.
    En gros, mon projet a une portée religieuse et l’originalité est l »emploi d’une synthèse humoristique afin d’y exposer mes vues;
    Quel format adopter ?

    Solution éventuelle principalevenant à l’esprit au cours de rédaction de cet article : Faire des schémas drôles ou organigrammes exposer mes vues.

    Je doute que ce soit très rentable ou intéresse énormément. plus encore aue ce soit rentable ou que quiconque y donne un euro.
    Je peux tenter ceci dit afin de soulager mon esprit, mais c’est désespéré.

    Si ma santé allait mieux je ne ferais sans doute pas ça ou du moins ce ne serait pas une activité principale. J’ai un CDI à côté me laissant du temps libre.

    Solutions alternative : twitter et instagram
    Problème, les sujets abordés sont censurés pour beaucoup en 2020 sur ces plates-formes

    Dernière solution : Le coaching individuel
    problème, pas de légitimité (ma propre vie est bof cf santé) mais je suis pourtant plutôt bon pour trouver des solutions concrètes
    problème bis, En dehors de certaines personnes, la majorité des gens ne m’intéresse pas

    Si vous avez des pistes ou solutions concrètes sur quoi faire concrètement je suis preneur

    1. Bonjour Guillaume,

      Merci pour tout ce partage.
      Pour certaines pistes citées, tu as des a prioris.

      Par exemple, tu dis « On n’existe pas sans youtube de nos jours et une video sans diction c’est inintéressant ». C’est faux. Si tu regardes ma chaîne Youtube, je n’ai que 331 abonnés à ce jour car j’ai publié peu de vidéos/ne me suis pas vraiment occupée de la chaîne. Pourtant, j’ai 9000 personnes abonnées à mes emails, parce qu’elles sont tombées sur mon blog. Je pourrais largement faire sans Youtube, ça ne changerait rien pour moi aujourd’hui. En revanche, c’est un levier de communication supplémentaire qui peut permettre d’obtenir plus de lecteurs/auditeurs/clients. Mais on PEUT exister sans Youtube.

      Deuxième exemple : tu dis « personne ne va lire ces trucs, les gens sont des esclaves de la forme moi le premier. ».
      Veux-tu dire que personne n’aura envie de lire des choses « personnelles » que tu écris ? Ou que les gens ne lisent pas les articles de blog tout court ?
      Si c’est le premier : on peut tout à fait parler de soi (si tu lis mes newsletters, tu sais que je parle beaucoup de ma propre expérience), mais les gens viennent sur les blogs pour obtenir réponse à leurs questions. Il ne s’agit donc pas uniquement de raocnter sa vie, mais plutôt de raconter sa propre expérience pour donner de la visibilité sur un sujet, un chemin que les personnes pourraient être amenées à faire ; ou bien tirer des leçons/conseils de son expérience, pour que les lecteurs puissent l’appliquer à eux.

      Si ce que tu voulais dire est que personne ne lit les blogs : comment expliques-tu que tu te retrouves sur le mien à écrire un commentaire ?

      Troisième exemple : tu dis « Pas de visuel, pas de vues et je dessine mal (vraiment, j’ai déjà essayé d’apprendre) ».
      Premièrement, on n’est pas obligé de créer des visuels si on ne sait pas les faire.
      Deuxièmement, si on en veut vraiment, on peut payer quelqu’un pour les faire à notre place.
      Troisièmement, je te conseille d’aller voir les dessins du site waitbutwhy.com pour te rendre compte qu’on n’a pas besoin de savoir bien dessiner pour avoir le droit d’illustrer ses articles avec ses propres dessins malgré tout.

      Quatrième a priori : « Je peux écrire éventuellement pour la cause que je soutiens des articles, mais suis généraliste et pas vraiment spécialiste. »
      Quelle est la cause que tu soutiens ?
      Une « cause » en particulier, c’est déjà une spécialisation.
      La spécialisation vient aussi en faisant, en écrivant. On se rend compte de ce sur quoi on aime le plus écrire, ce qui génère le plus d’idées.

      « Il y a bien des pistes mais je n’ai pas de légitimité académique sur chacune.  »
      Je sais que nous vivons dans une société qui donne beaucoup d’importance aux diplômes, et parfois ils sont obligatoires (légalement) pour pouvoir exercer une profession. Mais si ce n’est pas le cas, libre à nous d’avancer sans diplôme.
      Je défends cet idée notamment dans l’accompagnement : cet été, j’ai créé un programme en ligne « Coach non certifié » pour expliquer comment on peut faire de l’accompagnement sans passer par une école de coach, et sans être un charlatan pour autant.

      « De plus les articles m’ennuient » –> ça t’ennuie de les lire ou de les écrire ?
      Si ça t’ennuie d’écrire des articles, alors n’en écris pas !
      Ou écris-les de façon à ce que ça ne t’ennuie pas. Peut-être que tu te mets trop de pression en considérant qu’il faut les faire d’une certaine manière, avec une certaine longueur. Mais il y a de tout sur Internet. Moi je suis partisane du fait de faire les choses telles qu’elles nous font plaisir.

      « Problème, l’industrie existe et personne ou presque n’achète ce genre d’objets actuellement hormis ce qui est mignon et féminin et je suis un homme » –> Quelles sont tes sources pour affirmer tout ce que tu as affirmé dans ce commentaire ? (on n’existe pas sans Youtube, personne ne lit les blogs, il faut une légitimité académique pour écrire sur un sujet…). J’ai l’impression que tu t’es créé beaucoup de certitudes sur certains métiers, mais qu’il s’agit davantage d’a prioris et de suppositions que de faits et de vérités. Il y a du vrai dans ce que tu dis, mais il y a aussi du faux. En faisant des choix sur la base de ces a prioris, tu te fermes beaucoup de portes, et tu vas te retrouver dans une impasse et un casse-tête insoluble.

      Je t’invite à d’abord te demander ce qui t’INTERESSERAIT vraiment (de quoi as-tu envie de parler ? à quel niveau aimerais-tu aider les gens ? qui aimerais-tu aider ? Sous quel format prendrais-tu plaisir à les aider ?).

      Et seulement une fois que tu as répondu à ces questions, liées à ton épanouissement, alors tu peux commencer à te demander comment rendre ça concret. Dépasser tes a prioris, trouver des personnes qui ont réussi dans ces domaines et leur demander comment ils ont fait, chercher un modèle économique viable plutôt que partir du principe que ça ne le sera pas. Au lieu de partir du principe que tu ne seras pas légitme, que tu ne gagneras pas assez d’argent, que les gens ne seront pas intéressés, etc… Pars du principe que tu cherches à attirer une minorité de personne qui aime vraiment ce que tu fais et comment tu le fais.

  2. Merci pour la réponse. Je précise que mon premier post était écrit via mobile d’où imprécisions ou fautes éventuelles.

    Concernant le début de votre réponse, votre blog répond probablement à un besoin qui amène les gens à taper les mots-clés nécessaires sur Google ou autre moteur de recherche. Pour une cause plus engagée, ce n’est pas forcément le cas selon la cause en question. Sinon, il y a toujours la possibilité de répondre à un besoin créer un business non lié à une cause à défendre, quoique ça puisse être lié, mais c’est un moyen détourné qui amène plus à une technique ou à un produit précis auquel je n’aurais pas encore pensé ni ai les aptitudes pour du moins pas encore.

    Concernant le site waitbutwhy.com, en effet je pensais faire ce style de dessins faute de mieux.
    J’ai d’ailleurs trouvé des logiciels permettant de faire des schémas entre temps (les anglophones ont vraiment de l’avance dans ces domaines)

    « Il ne s’agit donc pas uniquement de raconter sa vie, mais plutôt de raconter sa propre expérience pour donner de la visibilité sur un sujet, un chemin que les personnes pourraient être amenées à faire ; ou bien tirer des leçons/conseils de son expérience, pour que les lecteurs puissent l’appliquer à eux. » > En effet c’est le plan

    Si ce que tu voulais dire est que personne ne lit les blogs : comment expliques-tu que tu te retrouves sur le mien à écrire un commentaire ? > J’ai tapé ikigai sur la barre de recherche google ou duckduckgo et votre site devait être bien référencé

    Je préfère garder la cause en question pour moi car elle est clivante, on peut éventuellement parler de niche en terme commercial.

    « “De plus les articles m’ennuient” –> ça t’ennuie de les lire ou de les écrire ?
    Si ça t’ennuie d’écrire des articles, alors n’en écris pas ! » > Ca dépend, j’ai tendance à sauter directement aux conclusions maintenant,

    En effet, je pense passer par des schémas ou organigrammes, éventuellement y inclure un peu de ma personnalité facultatif), et si possible (dans ce cas je mets la personnalité plus en retrait) passer par un travail d’équipe autour de la cause en question.
    Je suis d’accord quant à la longueur ou à la « certaine façon ».

    « “Problème, l’industrie existe et personne ou presque n’achète ce genre d’objets actuellement hormis ce qui est mignon et féminin et je suis un homme” –> Quelles sont tes sources pour affirmer tout ce que tu as affirmé dans ce commentaire ? (on n’existe pas sans Youtube, personne ne lit les blogs, il faut une légitimité académique pour écrire sur un sujet…). » > Le ton de la réponse commence à m’énerver quelque peu ceci dit. Ce sont des globalités sociales (et non des à-prioris sur les professions) vérifiables aisément (exemple : un coup d’oeil à la palette graphique du site etsy) avec des termes imprécis de ma part. Le but est d’économiser du temps et des efforts ne pas me perdre dans des voies non faites pour moi, le risque est en effet de ne rien faire. Débattre sur Internet ne m’intéresse plus et je vous épargne un long pavé justificatif.

    Merci tout de même pour le temps pris à me répondre et pour vos articles.

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